Investissez dans l’avenir de vos enfants
Vous souhaitez à vos enfants une vie gratifiante aussi bien sur le plan personnel que sur le plan financier. Une bonne façon d’y contribuer est d’investir dans leur avenir en cotisant à un régime enregistré d’épargne-études (REEE).
Dans un monde hautement compétitif comme celui d’aujourd’hui, des études postsecondaires constituent un net avantage. Les études postsecondaires peuvent être dispendieuses (le coût moyen d’un programme de quatre ans avoisinait les 58 000 $1), et elles le sont davantage d’année en année. Mais elles restent un excellent investissement. C’est d’ailleurs pourquoi tant de gens épargnent pour financer les études de leurs enfants.
Voici pourquoi le REEE s’avère un excellent véhicule d’épargne pour l’avenir de vos enfants :
- Vous pouvez cotiser autant que vous le voulez chaque année (à condition de ne pas investir au total plus de 50 000 $ par enfant)
- Le gouvernement ajoutera des montants équivalant à 20 % de vos cotisations (jusqu’à concurrence de 1 000 $ par année et de 7 200 $ au total); c’est la Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE)²
- Les familles à faible revenu peuvent avoir droit à une SCEE supplémentaire et au Bon d’études canadien (BEC)³
- Les cotisations ne sont pas déductibles d’impôt, mais les retraits de cotisations faits par l’étudiant ne sont pas imposables
- Les paiements d’aide aux études (PAE), composés de la SCEE, du BEC et des revenus du REEE, sont imposés au nom de l’enfant. Heureusement, les étudiants paient généralement peu ou pas d’impôt.
- L’étudiant peut accéder aux fonds du REEE dès qu’il s’inscrit à un programme d’études postsecondaires admissible.
- Si l’enfant décide de ne pas poursuivre d’études postsecondaires, le souscripteur du REEE peut récupérer les cotisations ou transférer l’actif du REEE à un autre enfant.
- Vous pouvez récupérer et utiliser comme bon vous semble les cotisations non retirées du REEE une fois les études de l’enfant terminées.
Investir dans un régime enregistré d’épargne-études est une bonne décision, et votre conseiller professionnel peut vous aider à gérer judicieusement vos finances et à éviter que vos enfants ou petits-enfants aient à s’endetter pour étudier.
Révision : 16 février 2015